ESPGHAN - Position Paper - malnutrition clinique et approche pratique pour identifier la dénutrition associée aux pathologies pédiatriques. Retrouvez la publication via le lien suivant  :

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Obésité -  Selon le nouveau rapport sur l’obésité dans la Région européenne de l’OMS 2022, publié le 3 mai par le Bureau régional de l’OMS pour l’Europe, la prévalence de l’obésité chez les adultes y est désormais supérieure à celle de toutes les autres Régions de l’OMS, à l’exception des Amériques.

Désormais, en Europe, 59 % des adultes et près d’un enfant sur 3 d’âge scolaire (29 % des garçons et 27 % des filles) sont en surpoids ou obèses.

La pandémie de COVID 19 a touché de manière plus importante les personnes en surpoids ou obèses, mais a également entraîné des changements défavorables en termes d’alimentation et d’activité physique : les premières études menées dans un certain nombre de pays européens ont indiqué une augmentation de la prévalence du surpoids et de l'obésité, ou indice de masse corporelle moyen (IMC), chez les enfants et les adolescents pendant la pandémie de COVID-19. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien suivant :

Rapport sur l'obésité dans la Région européenne OMS 2022

Petits pots pour bébés -  Test Achats a examiné 64 pots de légumes pour bébés prêts à consommer. Et le résultat est choquant : aucun d'entre eux ne contient tous les nutriments dont un bébé de 6 à 12 mois a besoin. Les graisses ajoutées en particulier ne sont pas présentes en quantité suffisante, aucun des pots ne s'approchant même des 12 grammes recommandés. La moitié des petits pots contiennent trop de protéines, alors que cinq d’entre eux en contiennent moins que la norme légale. Test Achats en a informé le SPF Santé publique et l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire de ses constats. Pour en savoir d’avantage, cliquez sur le lien suivant :

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Malnutrition en santé mentale pédiatrique -  Carences nutritionnelles et malnutrition chez les enfants atteints de paralysie cérébrale, une revue systématique et méta-analyse. Pour accéder à la publication, c’est via le lien suivant :

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Allergies alimentaires - Medscape - parution récente d’un « guide du gastro-entérologue sur les allergies, intolérances et sensibilités alimentaires ».  

Au cours des dernières années, les cliniciens et les patients ont connu à la fois un intérêt significatif et une certaine confusion concernant les allergies/sensibilités alimentaires et leurs manifestations dans le tractus gastro-intestinal. Un manque de clarté a conduit à la frustration, à des tests inappropriés et à des diagnostics manqués.Le contributeur de Medscape, Akash Goel, MD, professeur adjoint clinique de médecine à Weill Cornell Medicine, s'est entretenu avec Clifford Bassett, MD, fondateur et directeur médical d'Allergy & Asthma Care of New York, professeur adjoint clinique à la NYU Grossman School of Medicine, membre du corps professoral du Weill Cornell Medical College à New York et auteur de The New Allergy Solution , sur la recherche d'un cadre permettant d'aborder les dilemmes diagnostiques liés à ces conditions liées à l'alimentation. 

Retrouver ce guide via ce lien

Workshop ECOG/SFN - Le CEDE participait le 19 Mai 2022 au workshop de ECOG (European Childhood Obesity Group), la SFN ( Société Française de Nutrition ) et Aprifel (Agence pour la recherche et l’Information en fruits et légumes) “Stratégies de prise en charge de l’Obésité Pédiatrique” et vous invite à prendre connaissance du replay disponible ici : Workshop ECOG/SFN

Voici quelques notes en 10 points. 
1. Selon les seuils IOTF, 17% des 2-4 ans sont en situation d’obésité en France en 2020, 29% en surpoids. Ces chiffres sont maximaux entre 5 et 7 ans (19% d’obésité et 39% de surpoids). L’obésité touche 8% des 8-10 ans, et le surpoids 29% (Enquête épidémiologique nationale sur le surpoids et l’obésité pour le Ligue contre l’Obésité – Nouvelle édition de l’étude Obépi-Roche menée depuis 1997) 
2. Les bilans de santé en école maternelle du Val de Marne montre une accélération importante à compter du confinement de 2020
3. 4 freins majeurs à la consommation de fruits et légumes par les enfants : le goût/la texture ; le faible apport calorique ; l’absence de promotion marketing ; la tension éducative autour de leur consommation
4. Bénéfice d’une consommation par la mère pendant la grossesse et l’allaitement (transfert de flaveurs)
5. Association positive entre la durée d’allaitement et une consommation plus élevée de fruits et légumes
6. Les légumes doivent être proposés tôt, avec persévérance (8 expositions), avec verbalisation, et sans pression parentale.
7. Influence positive de la disponibilité et accessibilité des fruits et légumes à la maison
8. Dans les interventions auprès des familles, les recommandations positives comme augmenter la part de fruits et légumes semblent également bénéficier à la réduction des apports en sucres et gras, pas l’inverse.
9. L’exercice placé juste avant le repas favorise un apport énergétique plus faible
10. En début de repas (faim) ou en collation, les légumes sont mieux acceptés

Dossier INRAE sur les cantines scolaires - Chaque semaine d’école, environ 8,5 millions d’entre eux, de 3 à 17 ans, déjeunent à la cantine (France métropolitaine, Anses 2021). Spécialiste du comportement alimentaire, Sophie Nicklaus est convaincue du rôle de la restauration scolaire comme terrain d’expérimentation et de mise en pratique de l’éducation au goût et à une alimentation saine et durable. Tout aussi important, le plaisir de manger s’apprend aux enfants. Cliquez sur le lien suivant pour lire l’intégralité de l’article et voir la vidéo explicative : 

Article et vidéo explicative